Lors des vacances d'été chez son arrière grand-mère Mashka, Max a découvert le journal de bord de Théophile Loiseau, un aventurier qui a parcouru l'Orient en 1850, puis l'Asie et l'Afrique, et qui n'est autre que son aïeul. En farfouillant dans le grenier, Max trouvera des affaires lui ayant appartenu au sein d'une malle. Son contenu est mince : Des vêtements mités, une vieille montre, et une bête craie blanche. Du moins le pensait-il. Car cette craie permet d'ouvrir des portes magiques et de voyager instantanément à travers tous les continents. Max peut ainsi partir à l'aventure, de la Chine au Pérou, en passant par le Canada ou l'Inde. L'occasion de se faire de nouveaux amis et d'enrichir ses connaissances du monde. Dans ce nouveau tome, Max découvre par hasard dans une brocante une peinture représentant Théophile Loiseau, ainsi qu'une perruche qui lui aurait appartenu. Mais c'est impossible, son ancêtre est mort il y a 150 ans. A moins que la notion du temps ne soit pas une science si exacte qu'on ne le pensait ...

Destiné à la base pour les plus jeunes avec un enchainement de petites histoires, La Craie des Étoiles est un ouvrage intelligemment construit, et qui permet de découvrir en toutes décontractions les coutumes et modes de vie des populations mais également de voir le terrifiant nombre d’animaux en voie de disparition sur la planète (tigre, éléphant, coyote, etc). Les textes sont peu nombreux, et l'essentiel de l'action passe à travers l'image, un dessin particulièrement charmant qui nous entrainera cette fois du Kenya au Kazakhstan en passant par la Grèce. Au cours de ses péripéties, Max découvrira une jeune fille qui dispose elle aussi d'une craie des étoiles, mais pas des mêmes compétences que lui. La série devrait donc se poursuivre, peut être avec d'autres têtes d'affiche.