Hellforces Plate-forme : PC Date de sortie : 07 Juillet 2005 Editeur : Développeur : Genre : FPS Multijoueur : Oui Jouable via Internet : Oui Test par Nic0074.2/10 Hellforces est un énième FPS comme il en existe tant. Celui ci n'est pas très motivant d'ailleurs. Quid de l'intrigue ?Dans Hellforces, vous incarnez un certain Steven Geist, ancien Soldat des Forces d'Intervention Rapide, qui est devenu barman. Un jour votre ex, Linn, débarque sans crier gare, pour vous informer que L'Eglise du Nouveau Jour (un secte en fait), s'est mise en quête d'âmes humaines. Quelques jours après Linn a disparu, et des évènements étranges sont apparus en ville. Il est temps de partir à l'aventure. Ah oui j'oubliais, ceci est un flashback. Le personnage est en réalité en prison face à un agent très spécial et il sera bien vite déconcerté quand il arrivera en ville. QUOI ? Des zombies ? Oui c'est la grande mode actuellement ...... Raccoon City le retour.Une ville envahie de zombies, on a souvent connu ça sur consoles et dans Hellforces le résultat est toujours très sanglant (déconseillé aux moins de 18 ans) et la bande son n'a rien de fantastique avec les traditionnels onomatopées des créatures. Alors dès que l'aventure commence, on comprend que le jeu d'Orion est extrêmement bourrin. Pas besoin de réflechir on tire dans le tas. Malheureusement, l'intrigue manque d'attrait. Les zombies se traînent et n'offrent que peu de résistance. Bref Hellforces est mou, trop mou. On essaye de noyer le poisson en mettant en scène 45 sortes d'ennemis différents et des armes nombreuses (24 en tout) mais ça ne prendra pas. Terne, sans éclat, grossier.Hum Hellforces n'est pas non plus un modèle technique. Pourtant, il réclame un Pentium IV 1.8 Ghz, 512 Mo de RAM et une carte graphique de 64 Mo pour tourner correctement. Enfin à l'écran, le jeu est peu motivant avec une réalisation très nettement en déça des standards du genre. Même sur consoles, ça ne passerait pas ! VERDICT- Hellforces ne restera pas dans les annales. Plat, répétitif, pas motivant pour un sou, ce titre souffre de problèmes importants dans sa conception et dans sa réalisation. On préfèrera passer son tour cette fois. |