Sakura, Saku est une série qui a connu un total de neuf tomes éditions Shueisha. Saku Fujigaya est une jeune fille discrète et effacée. Un jour, alors qu'elle prend le train, elle fait un malaise. Une personne le remarque et ouvre la fenêtre pour l'aider à respirer. Enfin arrivée à la station la plus proche, Saku s'évanouit et perd son sac. Lorsqu'elle se réveille à l'infirmerie de la gare, le personnel l'informe qu'on lui a ramené son sac. Son sauveur lui a laissé son numéro de téléphone et son nom : Sakura Ryôsuke. Elle tente alors de l'appeler pour le remercier... en vain. Néanmoins, cet épisode a bouleversé la jeune fille. Depuis ce jour, Saku a pris la décision d'aider les personnes dans le besoin, comme son sauveur l'a fait pour elle. Mais quelle n'est pas sa surprise lorsqu'à la rentrée, elle rencontre dans sa classe un dénommé Haruki Sakura, dont le grand frère s'appelle Ryôsuke... Pourra-t-elle enfin remercier son sauveur ?

Les moments entre Saku et Haruki, dans ce volume, étaient plus adorables que d'habitude mais on n'a pas encore atteint le point où les choses, entre eux, sont complètement claires et transparentes. Alors nous allons aller à contre-courant, mais on apprécie le personnage d'Iryu. Il est un peu tsundere, et il peut être mignon quand il le faut. Bien sûr, il est parfois assez irritant, mais il crée des dynamiques intéressantes et secoue les choses. Nous sommes à un peu plus de la moitié de l'œuvre, en fait elle s'est déjà terminée avec neuf volumes au Japon. Il ne reste vraiment plus beaucoup de temps avant la conclusion et il faut espérer que même les personnages secondaires auront un destin digne de ce nom vers la fin. Nous sommes certains que le couple principal deviendra officiel, je n'en doute pas, alors espèrons qu'Iryu, et surtout Kotono, trouveront aussi le bonheur. Kotono est l'espoir secret d'avoir une composante yuri plus prononcée dans une œuvre de Sakisaka. Ce souhait se réalisera-t-il un jour ? Qui sait ! Quoi qu'il en soit... À la fin du volume, il y a aussi une histoire autonome en bonus, intitulée " Where a Girl Ends ". Courte mais intense, comme on dit, et d'une certaine manière, le protagoniste masculin s'avère intéressant dans son caractère direct et sans tabou. Vous savez que d'habitude dans les shojo il faut enlever les mots de la bouche des personnages donc c'était une bonne surprise !