Dominic Torett mène une existence paisible avec Letty sur les plages de Cuba, alors que le reste de l'équipe a été disculpé de toutes les charges dont ils étaient accusé. Cependant, une cyberterroriste du nom de Cipher convainc Dom de rejoindre son équipe et de trahir ses amis. Ceux-ci sont persuadés que leur frère a une bonne raison d'agir de la sorte et s'entêtent à le poursuivre à travers le globe afin de le freiner dans ses plans machiavéliques, orchestrés par sa nouvelle camarade dans le crime. Grâce à l'assistance d'un mystérieux M. Nobody, Letty, Hobbs, Tej, Ramsey, Roman et même leur ancien ennemi Deckard Shaw auront à leur disposition tout un attirail pour mener à bien leur mission et faire entendre raison à leur fidèle complice. Des rivages de Cuba au rues de New York en passant par les plaines gelées de la mer arctique de Barrents, l'équipe va sillonner le globe pour tenter d'empêcher une anarchiste de déchaîner un chaos mondial et de ramener à la maison l’homme qui a fait d’eux une famille.

Le scénario de Fast & Furious 8 (alias The Fate of the Furious) ne brille clairement pas son intérêt, mais le film joue une fois encore la carte du plus fort (en cascades, en combat et en explosions), de plus improbables (une pluie de voitures, une poursuite entre grosses cylindrées et un sous-marin) et plus déjanté. Bref, un divertissement qui ne se prend pas au sérieux et qui fait plaisir à voir, surtout que les ennemis d'hier (Dwayne Johnson et Jason Statham) deviennent les alliés d'aujourd'hui. Charlize Theron sort du lot en tant que vilaine, affichant un côté très reptilien.  Fast & Furious 8 est aussi le premier sans Paul Walker et beaucoup d'allusion seront faites au personnage qu'il interprétait (Bryan O'Connor).