Assassin's Creed - Origins & Reflections
Plate-forme : Bande Dessinée
Date de sortie : 16 Mai 2024
Résumé | Test Complet
Editeur :
Développeur :
Genre :
Bande dessinée
Multijoueur :
Non
Jouable via Internet :
Non
Test par

Redaction


8/10

Scénario : Anthony Del Col et Ian Edginton
Dessin : Pericles Júnior Kaiowá et Valeria Favoccia

Cet album compile en réalité deux comics américains, Assassin's Creed Origins et Assassin's Creed Reflections. Egypte - les dernières années tumultueuses de l'ère ptolémaïque. Une société secrète dangereuse commence à affirmer son pouvoir, alors Aya, originaire d'Alexandrie, a décidé de consacrer sa vie à construire une Confrérie capable de lui résister. Ses membres travaillent dans l'ombre et tuent ceux qui pourraient tenter de prendre le relais avec libre arbitre des gens. Aya a choisi Rome comme base et a choisi une nouvelle cible : le dictateur Jules César, de plus en plus avide de pouvoir... Rejoignez-nous dans un voyage aux tout débuts de la Confrérie des Assassins dans l'aventure passionnante des auteurs Anthony Del Colo (Kill Shakespeare) et PJ Kaiowa (Pacific Rim), basés sur le jeu vidéo à succès d'Ubisoft. Contenu Assassin's Creed Origins #1-4. Otso Berg est confronté à un dilemme que seul le passé peut résoudre. En utilisant la technologie Animus pour retracer l'histoire de certains des personnages les plus courageux et les plus intelligents de la Confrérie des Assassins, le Maître Templier espère faire pencher la balance en sa faveur face à ses rivaux. Quel meilleur moyen d'y parvenir que d'apprendre de son ennemi, de devenir l'ennemi lui-même ? Un roman graphique unique d'Assassin's Creed par Ian Edginton et Valeria Favoccia. Avec les aventures inédites de certains des Assassins les plus mémorables de la série, dont Ezio Auditore, Altaïr Ibn-La'Ahad, Edward Kenway et Ratonhnhaké:ton.

La bande dessinée suit la conclusion d'Assassin's Creed : Origins et donne aux lecteurs ce qu'ils voulaient réellement voir dans le jeu, mais n'ont pas pu le voir. La mort de César est prolongée, Brutus a un rôle plus important et porte quelque chose qui rappelle son armure légendaire de la Confrérie, et nous voyons également la mort de Cléopâtre. C'est un peu triste que "l'épilogue de l'épilogue" ait dû sortir sous forme de bande dessinée, même s'il laisse entrevoir une possible suite qui n'arrivera probablement jamais. Nous avons beaucoup aimé les illustrations. La bande dessinée est dédiée à Aya et l'intrigue, comme toujours, s'inscrit dans les événements historiques. Et si vous n'avez pas joué au jeu, ce n'est pas grave. Le tout début donne un bref résumé de ce qui a précédé les événements et l'histoire avec de belles illustrations peut être appréciée de toute façon. Une fois, l'aventure terminée nous sommes maintenant dans une autre ère. Otso Berg, le maître des Templiers, entre dans les données de la mémoire électronique des assassins. Son but est de regarder les souvenirs des assassins et de les comprendre, de trouver quelque chose. Nous sommes dans des souvenirs à l'intérieur de souvenirs, et cela commence avec Ezio, Ezio rend visite à Léonard de Vinci sur son lit de malade et lui raconte sa rencontre avec Mona Lisa. Puis il entre dans les souvenirs de Darim. Nous arrivons alors à l'assassinat de Gengis Khan. On accède ensuite aux mémoires d'Edward Kenway. Il se bat avec le célèbre pirate Ned Low. Nous continuons avec l'assassin Connor. Il apprend à sa fille à chasser. Après avoir visionné les séquences, Otso se rend compte de l'importance de la famille et de l'amitié. Les différents assassinats à différentes époques ont rendu la lecture amusante. La progression n'est pas monotone. Le plus ennuyeux est l'assassinat de Cengizhan. Le plus beau est le chapitre de Kenway. L'histoire est très intéressante, parfois les choses les plus précieuses se trouvent là où on les attend le moins.

VERDICT

-

Cette bande dessinée conclut agréablement l'histoire du jeu vidéo Assassin's Creed Origins, tandis que la partie Reflections est bien plus qu'une célébration cynique et arrosée des dix ans de la série. C'est une excellente excuse pour passer du temps avec les personnages que l'on a appris à aimer et à apprécier.

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