Eléments de langage : Cacophonie en francophonie Posté par
le 11.01.2022Comment Macron et Trudeau ont choisi de confier la Francophonie à une Rwandaise. Une histoire de chaussetrappes et de coups fourrés contée de l’intérieur... Bertin Leblanc est québécois mais vit en France depuis quelques années. Cet homme de média se voit proposer un poste en or : porte-parole de la Francophonie. Enfin poste en or, pas si certain : sa cheffe Michaëlle Jean, la Secrétaire générale de la Francophonie, pleine de verve et de dynamisme, a bien du mal à respecter les consignes en termes de concision, de communication et de diplomatie. Au point d’épuiser ses collaborateurs mais aussi, bien plus grave, les chefs d’État. Avec un bilan plutôt flatteur à la tête d’une organisation qu’elle a clairement redynamisée, la Canadienne Michaëlle Jean pense que son mandat devrait être renouvelé sans trop de problèmes. Et pourtant… La presse québécoise commence à se déchaîner contre elle, Emmanuel Macron semble agacé par son activisme et Justin Trudeau, le Premier ministre canadien, ne la soutient plus que du bout des lèvres. Alors, Bertin et toute l’équipe en place s’activent pour défendre à tout prix le bilan de sa cheffe mal-aimée. Mais est-il encore question de bilan et d’essor de la Francophonie quand le Président français a d’autres enjeux en tête, comme la pacification des relations de la France avec le Rwanda ? Pour résultat, Louise Mushikiwabo, femme politique rwandaise, lui sera préférée à la tête de la Francophonie. Une décision polémique du fait du manque d'engagement du pays envers la défense de la langue française et sa situation en termes de droits humains... Fiche Releases
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